De résident à non-résident, la métamorphose de Jean-Marc

Jean-Marc, Français installé au Canada, pensait que ses finances étaient bien sous contrôle.

Jusqu’au jour où il a découvert une réalité fiscale incontournable : il est devenu, en France, non-résident fiscal.

Les avantages fiscaux qu’il croyait acquis en France n’étaient, alors, plus garantis : certains produits défiscalisés se retrouvaient fiscalisés, d'autres, réservés aux résidents fiscaux, ne lui étaient plus accessibles...

Par dessus le marché, le Canada imposant les revenus mondiaux, ce qui se trouve totalement défiscalisé en France se retrouve fiscalisé à 100% au pays à la feuille d'érable.

“Donc mon plan patrimonial français… il ne sert plus à rien ?!” s’est écrié Jean-Marc.

Et il avait raison. Jean-Marc a rapidement compris que la planification patrimoniale effectuée en tant que résident français perd son efficacité dès que l’on change de statut fiscal.

Pour limiter la casse, il aurait fallu :

1. Évaluer ses placements et ses actifs selon le régime fiscal des non-résidents français.
   

2. Estimer son niveau d’imposition canadien avant son départ.
   

3. Ajuster sa stratégie patrimoniale en conséquence.
   

Mais comme souvent avec Jean-Marc… il n’avait rien anticipé. Le résultat ? Il a découvert les effets de ce changement de fiscalité… à la dure.

Moralité : Que ce soit pour s’installer au Canada ou pour retourner en France, chaque mouvement a des conséquences fiscales précises. Sans préparation, c’est Jean-Marc qui paie. #cestjeanmarcquipaie